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 Erreurs intouchables des interprétations de Newton.

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AuteurMessage
André




Messages : 12
Date d'inscription : 21/08/2014
Localisation : ici (à Terrebonne Québec, Canada)

Erreurs intouchables des interprétations de Newton. Empty
MessageSujet: Erreurs intouchables des interprétations de Newton.   Erreurs intouchables des interprétations de Newton. Icon_minitimeVen 22 Aoû - 22:16

« Le terme force centripète (« qui tend à rapprocher du centre ») désigne une force permettant de maintenir un objet dans une trajectoire circulaire ou elliptique. D’un point de vue dynamique, le Principe Fondamental de la Dynamique (PFD) indique alors la présence d’une force radiale dirigée elle aussi vers le centre de courbure.

Cette force est au sens de Newton une force réelle, qui pourra avoir diverses origines, par exemple :

force d’exagération (mouvement des neutrons)

force de gravitation (mouvement des planètes)

force de tension (mouvement circulaire d’une masse accrochée à un fil tendu dont l’autre extrémité est généralement fixe ou presque)

Sans force centripète, l’objet ne peut pas tourner ou cesse de tourner.
»

Nous nous en tiendrons, ici, à la force de gravitation.

Toute notre physique est basée sur l’axiome décrit plus haut; mais cet axiome semble faux. Car depuis Einstein, l’orbite des planètes n’est pas du tout régie par cette force centripète; l’orbite d’une planète dépend exclusivement de la topologie de l’espace ambiant de la planète. De plus cette topologie n’offre aucune résistance; elle ne fait qu’indiquer la direction à suivre « tout droit en avant ».

C’est la « déformation de la géométrie de l’espace-temps » (où la signalisation « tout droit en avant » est déviée vers le centre de gravité) qui produit la trajectoire courbe, et c’est la vitesse de l’objet qui détermine l’amplitude de cette courbe. Plus la vitesse est grande, moins la signalisation sera déviée vers le centre et plus l’objet aura la possibilité de s’échapper de la déformation spatiale; donc plus la courbe de la trajectoire sera « étendue ». Les formules mathématiques parfaitement exactes qui peuvent rendre compte de cette situation physique ne sont pas celles de la notion de Newton (quoiqu'elles s'en rapprochent).

« Dans un repère Galiléen (l’observateur se trouve à l’extérieur de l’orbite), l’échappement à la déformation éloigne l’objet du centre de gravité et l’effet est perçu comme une force centrifuge. Newton la considère comme une « force fictive ».

Je me demande quelle différence peut avoir la perception de l’éloignement de l’objet du centre de gravité, lorsqu’on se tient à l’intérieur de l’orbite??? Car même si la planète s’éloignait selon la tangente de son orbite (ce qui est toujours le cas) elle « fuirait » quand même le centre.

En fait, « force centripète et centrifuge » sont des termes « abusifs ». On devrait dire « effet centrifuge ou centripète ». On remarquera que le simple mot « effet » nous ramène immédiatement à la notion de « conséquence » employé par Einstein au sujet de sa théorie de gravitation.

La réalité est que l’effet centrifuge est bien « réel » et non « fictif »; c’est plutôt la force centripète qui n’existe pas. Car il n’y a pas d’attraction terrestre. Résultat : le raisonnement de Newton est complètement contraire à la réalité. Ce qui peut expliquer pourquoi les formules qu’il en déduit fonctionnent. Car les formules incluant le signe (=) sont exactes même si on inter-change les « objets » de chaque côté de ce signe; seules celles qui ne comportent pas ce signe = deviennent « douteuses ». Ajoutons que la matière et l’antimatière sont identiques si on fait abstraction de leur polarité.

La réalité de l’effet centrifuge, qui contredit Newton, est facile à observer et la voici:

À cause de sa rotation sur elle-même, les corps sur Terre sont soumis à l’effet centrifuge. C’est pour cette raison que les lancements des fusées spatiales se font à proximité de l’équateur, car c’est là que l’effet est maximal. L’effet centripète n’existe pas et n’est qu’une « apparence" . Il n’est qu’une erreur d’interprétation de Newton, corrigée depuis, par Einstein avec sa nouvelle description de la gravitation.

Cet « effet » centrifuge fait partie du poids.

« Le poids est la force de la pesanteur, d’origine gravitationnelle et inertielle, exercée par la Terre sur un corps massique en raison uniquement du voisinage de la Terre. »

Encore une erreur d’interprétation. Mis à part ce manque de vocabulaire qui oblige à employer continuellement le mot « force », le poids n’est pas d’origine gravitationnelle; il est d’origine de l’énergie de masse. Il faut également ajouter que l’inertie d’un corps dépend également de l’énergie de masse que possède ce corps.

Selon Newton:

« Mathématiquement, si la vitesse du centre de masse d’un solide est constante, alors la somme des forces extérieures s’exerçant sur le solide est nulle. »

Cette donnée résulte de la première loi de Newton.

Mais elle doit être corrigée, car le mot « masse » devrait être remplacé par le terme « énergie de masse ». Ce qui élimine la notion de l’implication du « solide » pour la ramener strictement au centre de gravité de ce solide.

De plus, comme toute énergie de masse n’est aucunement « passive » (puisque le « repos absolu » n’existe pas), la somme des forces extérieures qui s’exercent n’est jamais « nulle »; elle est supérieure ou inférieure à l’énergie de masse de l’objet en question. De sorte que le centre de gravité d’un objet, où se manifeste l’énergie de masse, n’est jamais « statique » même s’il peut être « bloqué » dans son mouvement.

Lorsqu’il est « bloqué », il adopte le mouvement du centre de gravité de ce qui le bloque, en  ajoutant à ce centre de gravité, sa propre énergie de masse. De sorte que son énergie de masse n’est jamais « statique » et toujours « active« (ou dynamique, si vous préférez). C’est cette « loi » qui augmente l’énergie de masse du centre de gravité de l’ensemble et intensifie la déformation de la géométrie de l’espace du centre de gravité en question.

« En toute rigueur le poids n’est défini que dans le référentiel terrestre et ne prend en compte que les effets gravitationnels et inertiels. »

Autre erreur d’interprétation. Supposons que vous vous déplacez dans l’espace (en état d’apesanteur) à la vitesse (x) et que vos pieds rejoignent une balance qui, elle, se déplace dans le même sens, mais moins rapidement que vous, à la vitesse (y). Lorsque vos pieds entreront en contact avec la balance, vous allez lire un poids sur la balance qui sera déterminé par le calcul de x – y ( qui sera le poids en question; c’est à dire: la poussée « active » que vous allez imprimer sur la balance). La gravitation n’a rien à y voir et ce poids est un poids non pas « apparent » mais bien « réel » dans l’environnement et l’instant où il est déterminé.

Par contre, le centre de gravité de la balance adoptera celui de votre corps et prendra la même vitesse que celui-ci. Cela augmentera, évidemment, l’énergie de masse de votre centre de gravité; reste à découvrir si cela augmentera ou diminuera sa vitesse de déplacement.

Le poids devient donc, simplement, une différence de vitesse de déplacement. Si le déplacement des objets est en sens contraire, on peut alors qualifier le poids « d’apparent »; mais si le déplacement se fait dans le même sens, il est « réel ».

Sur Terre, votre poids est la différence de vitesse entre celle qui vous dirige vers le centre de gravité terrestre et la vitesse de l’objet qui « bloque votre mouvement ». Aucune « attraction» QUELLE QU’ELLE SOIT n’est en cause puisqu'elle n'existe pas.

À noter qu’un objet sans énergie de masse n’a pas de poids. Ce qui devrait nous donner des  indices sur la nature réelle de l’énergie de masse. En simplifiant (mais c’est toujours dangereux de le faire), on peut dire que c’est l’énergie de masse qui produit le poids.

Sur Terre, le poids d’un objet au niveau du sol détermine la puissance de "l’énergie cinétique bloquée" contenue dans l’objet à cette distance du centre de gravité. En « chute libre » dans une déformation de l’espace-temps, plus cette distance diminue, plus l’énergie cinétique de l’objet augmente. C’est pourquoi on observe une accélération lors de la chute d’un corps.

Et comme on sait qu’une augmentation de vitesse augmente l’énergie de masse, en « chute libre » nous constatons une augmentation de la manifestation d’énergie cinétique mais nous devrions constater également une augmentation de l’énergie de masse. Ce qui semble se confronter à la loi d’équilibre voulant que si l’une augmente, l’autre diminue.  L’interprétation explicite reste à être déterminée. Plusieurs raisons peuvent être proposées; mais une seule sera exacte. Probablement la plus simple de toutes.

Voilà donc des « prémisses" qui donne sujet à réflexion pour remettre en cause notre extraordinaire « savoir scientifique» actuel.

C’est également un ouverture possible à une discussion passionnante.

Je me demande toujours où en serait notre science actuelle, si Newton, au lieu de constater la chute d’une pomme, avait pu constater que l’univers est en expansion. Il est certain que toutes les lois qu’il a déterminé et qui sont devenues des axiomes pour les scientifiques, seraient totalement différentes.

Avouons que dans cette optique, ces axiomes « intouchables » prennent alors une importance beaucoup moins valable.

André Lefebvre
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